La Cour d'OctrOi vous souhaite un beau voyage dans le monde de l'Art, à la découverte d'artistes plein de talent

Vous pouvez voyager selon votre choix,
au rythme des messages,
ou choisir un artiste dans la liste "Artistes"
ou selon les techniques employées dans les différentes listes


dimanche 6 avril 2014

POBLICO Raphéu

PHOTOGRAPHE


"Je me présente Raphéu Poblico (prononcer "Raphéou") et suis né à Toulon, en 1985.
La profession de mon père m’a amené à voyager autour du monde, me sensibilisant à la beauté des reliefs et à la vivacité des couleurs. Mon travail est influencé par mon midi natal, mon enfance bercée par la découverte de « nouveaux mondes », les albums de famille composés par ma mère, et ma vie passée au bord de l’eau.
Autodidacte, les joies de la photographie me sont venues durant mon enfance grâce aux appareils jetables. C'est à partir de l'achat d'un Canon 350D, durant mes études universitaires, puis d'un 7D, que cet art est devenu une véritable passion."

OEUVRES









COORDONNEES

Route de Zuytpeene à NOORDPEENE
rapheup@gmail.com
Sur Twitter : @RapheuPoblico

PAROLES D'ARTISTE

"Mon but est de capturer les souvenirs, qui disparaissent avec le temps, 
afin de les garder intacts à tout jamais"

PARCOURS

         Participation au 22ème Salon de la photographie de Saint-Omer
         Exposition à la médiathèque et l’office du tourisme de Wormhout du 12 juillet 2013 au 7 septembre 2013
         Participation au concours photo « Vertiges de l’amour » organisé par la ville d’Esquelbecq
         Participation au 21ème Salon de la photographie de Saint-Omer ;
         Reportages photos d’un concert du groupe folk dunkerquois « SUR LES DOCKS »
         Reportages photos d’une soirée contes de l’écrivain Camille K. Rempalliszt à l’estaminet « Les mots à la bouches »

AXE DE TRAVAIL

Ma ligne directrice est de me rapprocher de la photo argentique mais avec du matériel numérique, 
c’est à dire garder la photographie la plus naturelle possible.
Mon intention ? 
Capter, figer un moment éphémère, de paysages tels les dessins uniques laissés dans le sable par la marée, ou encore de personnes du quotidien, rencontrées au hasard, ne sachant pas poser 
qui grâce à l’image deviennent éternelles. 
Imaginez l’émotion de la redécouverte de votre visage vingt ans plus tard ou d’un lieu oublié…


samedi 5 avril 2014

LANDSWERDT Christine

Plasticienne
Intervenante expression plastique 
et art-thérapeute




OEUVRES







Contact

3644 route de Cassel 
59470 Wormhout
06.78.29.63.76



Parole d'artiste

Je passe beaucoup de temps à tisser…
Comment me diriez-vous, à tisser?
Je tisse un morceau d’étoffe, il se construit lentement
Peut-être que vous aussi,
Mais il sera différent du mien et de celui des autres
La trame de celui-ci diffère de chacun de nous, du fil et du croisement avec les autres
Ils peuvent se toucher, se croiser, s’entrelacer, s’user parfois et se casser.
Dans le mien, chaque rencontre et relation à l’autre est un nouveau fil à ce tissage
Actuellement, il semble constitué de fils solides,
Il se construit peu à peu et se remplit comme une matière spongieuse
Avide de rencontres et d’échanges
Comme l’évolution d’un arbre dépendant de ses racines,
Je dépends, m’épanouis grâce à ces fils.
Mon tissage se métisse
Tant les fils sont différents et plus particulièrement
Tant l’individu est riche par ses différences sociales, mentales et culturelles
C’est un tissu nerveux, organique et vivant
Matériellement il pourrait être
Noué, trempé dans le plâtre
Ficelé autour d’une armature en fil de fer,
Tendue sur un châssis de bois
Trempé dans la peinture pour laisser des traces…
Ou plus simplement se connecter à d’autres tissages, celui des autres
Il devient alors patchwork
A celui-ci viendront se greffer, se croiser d’autres tissages
Il n’est plus seulement le mien
Mais se construit toujours…
Dans un espace créateur d’expression
Comme une petite ritournelle
Où des liens entre les personnes se tissent
Il pourrait être à l’image de la relation de l’individu à l’autre.
Christine Landswerdt


Parcours

Certificat Professionnel d’Art-thérapeute à Profac
Diplôme National d’Arts Plastiques
Brevet Professionnel de la Jeunesse, de l’Education Populaire et du Sport
Expositions collectives dans le cadre des ateliers depuis 1998

Axes de travail

Travail autour de la notion de lien tant relationnel que plastique :
le signe, l’écriture, la trace, l’empreinte, le fil, le tissage…..
Techniques de volume par assemblage, superposition, encastrement
Peinture, Gravure, impressions, collage
Expression plastique en lien avec des écoutes sonores , des gestes, des traces
Matériaux de récupération, créations collectives ou individuelles

Renseignements divers

Intervenante en arts plastiques depuis 1998 : ateliers adultes, enfants en milieu associatif, personnes en situation de Handicap mental, personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer, personnes en insertion…
Ateliers art-thérapie en structure spécialisée ponctuels ou hebdomadaire : Foyer d’Accueil Médicalisé, Service Accueil de Jour, EHPAD…
Moniteur-éducateur à mi-temps avec des personnes en situation de Handicap mental


mardi 4 mars 2014

Monique Quintart

Cinéaste documentaire


© Donald Sturbelle

Contact
Contact : monique.quintart@skynet.be

Parcours

Je réalise des films documentaires depuis 1973, souvent des portraits de 
personnes qui, poussées par une nécessité intérieure, cherchent à être 
elles-mêmes et se refusent à entrer dans des schémas pré-établis ou bien 
qui sont à un tournant de leur vie, de leur culture et s’appuient sur leurs 
racines pour évoluer. 
Je puise dans la réalité des sujets très divers, mais que les médias n’ont 
pas la volonté d’aller cueillir, pour en donner un regard personnel. 
J’emprunte des éléments visuels et sonores au réel et les agence de 
manière à restituer ce que j’ai ressenti d’un moment, d’une situation, en 
essayant de ne pas en trahir les acteurs. 
Toute ma démarche consiste à tisser des liens. J’entre dans un univers 
que j’apprends à connaître, je fais un bout de chemin avec les gens, 
j’essaie de les comprendre le mieux que je peux, autant avec ma 
sensibilité qu'avec des connaissances. Cela se fait à la lumière de tous les 
films que j'ai réalisés avant et me fait aussi découvrir des territoires en 
moi. J’avance ainsi d’un univers à l'autre, mais c'est justement ça, ma 
spécificité, ne pas être spécialiste ...

Etudes

Etudes de journalisme à l’ULB (Université Libre de Bruxelles)
Etudes de réalisation à l’INSAS (Institut National Supérieur des Arts du Spectacle)


Filmographie

1973 : La nef des fous (Akaï ¼’ / 15' / coréal. Pascal Delaunois, Jean-Pierre 
Pinet, Chantal de Crayencour) 
Vidéo autour des derniers préparatifs et de l’inauguration de la péniche "Action", 
transformée en lieu culturel, sur le canal à Bruxelles. 

*****
1975 : Albert Trebla (Super 8 / 15' / coréal. Joao Brehm et Pascal Delaunois) 
Hôtelier à Saint-Idesbald, sur la côte belge, l'été, peintre l'hiver, Trebla a obtenu 
de multiples prix de peinture et une reconnaissance internationale. Nous l'avons 
filmé au moment où il vidait son hôtel, mis en vente forcée.

*****
1976 : Liberté d'expression (16 mm noir et blanc / 5') 
Court portrait d'un homme qui distribue des tracts sur un marché de Bruxelles 
pour revendiquer... la libre distribution de tracts. 

*****
1977 : Mass devia (16 mm / 5' )
 Clip sur une chanson du groupe du même nom.

***** 
1978 : Et si on se passait de patrons ? (16 mm / 38' / coréal. Marie-Hélène 
Massin)
Film documentaire racontant l'expérience d'entreprises wallonnes travaillant sans 
patron: le Balai Libéré, les Sablières Marchand et en particulier les Textiles d'Ere, 
près de Tournai. 

*****
1981 : Hortensia, je t'aime - signé Alexis (16 mm / 52') 
Film documentaire, tourné en Belgique et en France, à partir du vécu de femmes 
et de familles de prisonniers. L'inscription "Hortensia, je t'aime - Alexis" figurait 
sur un mur, couvert de petites barres représentant autant de jours de séparation, 
dans une cellule de la prison St-Léonard à Liège, aujourd'hui détruite. Disponible 
en DVD sur le site : www.cbadoc.be

*****
1983 : A l'ombre des buildings en fleurs (16 mm / 50')
Portrait d'un quartier de Bruxelles et de ses irréductibles habitants, qui refusent 
que leurs maisons soient démolies pour construire des extensions de la CEE. 
Disponible en DVD sur le site : www.cbadoc.be

*****
1987 : Dion: c'est pas une histoire (U-matic / 29')
Portrait d'un village du Brabant Wallon, dont les anciens habitants racontent 
l'histoire aux nouveaux venus. 

*****
1987 : Pour quoi ? (U-matic / 9' / dans la série Sauve qui peut la ville). 
Portrait d'un boulanger (que j'avais déjà filmé dans A l'ombre des buildings en 
fleurs), qui recommence sa vie, après la démolition de sa maison, de son atelier 
et de son magasin, situés à Bruxelles, en face de la CEE. 

*****
1989 : Terre-mère (Super 16 gonflé en 35 / 7'48'')
Film documentaire, sans commentaire, ni dialogues, ni musique, autour du 
travail de céramiste de Pascaline Wollast, préparant une exposition de 
personnages-insectes de taille humaine, qu'elle sculpte puis cuit en extérieur 
pendant un jour et une nuit dans un four de sa conception. 

*****
1992 : Jour de sable (fiction / Béta SP / 9')
Adaptation d'un conte fantastique de Thomas Owen, La fille de la pluie.

*****
1992 : La souris péremptoire (Béta SP / 60') 
Film documentaire, où Lucie Ninane, ancienne conservatrice du Musée d'Art 
Ancien à Bruxelles, transmet à Julien, qui a 73 ans de moins qu'elle, le récit de 
ses passions : la peinture flamande ancienne, son métier et son musée: «Un 
musée comme le nôtre, c'est comme un album de photographies de famille 
qu'on consulterait sur 600 ans de temps.»
Disponible en DVD sur le site : www.cbadoc.be

*****
1998 : Plutôt la vie (Béta SP / 71')
 Film documentaire autour du travail de Myriam Mallié, une de nos meilleures 
conteuses, filmée pendant la création de son adaptation de l'épopée de 
Gilgamesh, la plus ancienne histoire connue au monde, depuis l'écriture jusqu'à 
la première représentation publique, en passant par les répétitions avec un 
musicien, Marc Galo.
Disponible en DVD sur les sites : www.iskra.fr /www.gsara.be /www.leptitcine.be

 © Manu Vanaudenhove

 © Manu Vanaudenhove

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2003 : Eloignez vos tentes, rapprochez vos cœurs (DV CAM / 86') 
Portrait de groupe, constitué de Touaregs et de Belges, autour de la personne 
d'Annor, un jeune homme dont la mère est belge et le père touareg. Annor a la 
nécessité de faire coexister ces deux aspects de lui-même. Cela m'a permis 
d'aborder, dans sa propre démarche mais aussi dans le monde extérieur, la 
rencontre de ces deux sociétés.
Disponible en DVD sur les sites : www.wip.be /www.gsara.be /www.leptitcine.be


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2008 : Maraîchers (documentaire sonore / 8’30)
Un parcours sonore à la recherche de la voix des marais de Bourges, portée par 
quelques-uns de ceux qui les cultivent, parfois depuis des décennies, et parlent 
de la vie, du travail, de l’histoire quotidienne du lieu, de la relation des gens à 
l’eau et à la terre.

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2010 : Une vi(ll)e habitée (DV Cam / 56’)
Ce film documentaire est un street movie, un chemin que je trace dans 
Bruxelles, sur les pas de l’enfance et de la mémoire, à la recherche de ce que 
signifie habiter un lieu. Avec une amie écrivain, Michèle Vilet, je parcours le 
quartier où j’ai fait mes premiers pas, à Forest, évoquant les personnes qui y ont 
vécu. Ce trajet personnel est mis en relation avec deux autres manières, 
collectives et populaires, d'investir la ville: le Meyboom, fête ancienne d'un 
quartier qui n'existe plus et qui fait revivre chaque année l'esprit du Bas-Fond, et 
la Zinneke Parade, fête récente en quête d'identité nouvelle, qui rassemble des 
habitants de toutes origines. 
Disponible en DVD sur les sites : www.lecpc.be /www.leptitcine.be

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Travail en cours : Le nénuphar blanc 
Ce film documentaire sera le récit de mon voyage à la rencontre de 
l’œuvre et de la personnalité de Berthe Morisot, à travers ses œuvres, ses 
textes et les paysages et maisons, où elle a habité et travaillé. Je mettrai 
mes pas dans les siens à la recherche des traces qu’elle a laissées, pour 
permettre aux spectateurs d’imaginer qui elle a été.